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À Carrollton, sous le soleil texan, l'église arménienne Saint Sarkis a accueilli le 24 avril ses premiers fidèles. La singularité de son architecture sans frontières, merveilleuse osmose entre passé et présent ? Des formes héritées en droite ligne de Sainte Hripsimé, église chrétienne orthodoxe d'Erevan, la capitale moderne de l'Arménie, mais aussi l'emploi d'une innovation technologique numérique dernier cri : une croix arménienne traditionnelle, un « arbre de vie » dont les motifs géométriques et botaniques proviennent de 1,5 million de pixels, générés par un script informatique afin que chaque minuscule icône soit unique. Tels des flocons de neige, chaque pixel représente l'un des 1,5 million d'individus qui ont péri lors du génocide arménien de 1915. L'architecte new-yorkais David H...
Dror Baldinger FAIA (x5) - V. BOEV/Sputnik via AFP/ria novosti
Merci pour ces précisions.
Nous savions le peuple arménien bâtisseur d’églises, porteur d’une culture millénaire et malheureusement pour lui trop souvent sous la menace d’ennemis voulant les exterminer.
L'Arménie a été un des premiers pays chrétien du monde et ses églises correspondaient à la conception de l'Eglise des premiers siècles, avant une extension qui nous trompe.
Pour etre simple, l'Eglise était réservée aux prêtres dans un plan carré (ou plus élaboré) et la prière aux fidèles se faisait vers l'exterieur.
Cette Eglise reprend le plan initial de l'architecture arménienne, mais accueille les fidèles à l'intérieur.
C'est en cela qu'elle est arménienne des premiers siècles et moderne.