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La cause arménienne s'exprime d'abord au-dessus des océans. Hayk, 36 ans, voyage depuis presque douze heures. Il vient de Los Angeles. Après une escale à Paris, le voilà sur le point d'atterrir à Erevan, la capitale de l'Arménie, son pays d'origine. Il vit depuis trente ans aux États-Unis, où il dirige une entreprise de location de Jet-Skis et de snowboards. Il arrive avec 500 000 dollars collectés auprès de ses amis arméniens. « Et l'argent continue de rentrer », prévient-il en découvrant les premières lumières d'Erevan à travers le hublot. Son idée ? Se rendre en Iran et en revenir avec un camion chargé de médicaments. Avoir un passeport américain ne le trouble pas : « Les Iraniens ont de gros besoins financiers », assure-t-il. Mais, déjà, il pense à la suite : s'installer définitivem...
AFP (x2)
... Et arrêter de traite de "séparatistes" des hommes et des femmes qui ne sont épris que de liberté et qui luttent pour sauvegarder leur indépendance en refusant de se plier au joug des dictateurs azéris.
Ne puisse pas se payer des Rafales ou une ou de frégate (ce n’est pas malin de ne pas avoir de littoral)... Sinon la patrie des droits de l’homme, la France éternelle et protectrice de l’opprimé, volerait à son secours.
L'Arménie doit se battre contre l'Azerbadjîan mais surtout contre la Turquie qui veut redessiner l'empire Ottoman !