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Haut-Karabakh: Paris veut revenir dans le jeu

Manifestation d’Arméniens pour la «reconnaissance» par la France et la communauté internationale de l’indépendance du Haut-Karabakh, le 25 octobre à Paris. François Bouchon / Le Figaro

La France souhaite un règlement politique et soutient une mission de l’Unesco pour protéger le patrimoine.

Mise sur la touche par six semaines de combats et un accord de cessez-le-feu négocié sans elle, la France tente de reprendre pied dans le Haut-Karabakh. Sa qualité de coprésidente - au côté de la Russie et des États-Unis - du «Groupe de Minsk», missionné en vain pour négocier la paix entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie depuis près de trois décennies, lui offre une petite porte d’entrée qu’elle espère exploiter.

L’entourage d’Emmanuel Macron met en avant son activisme ces dernières semaines, concrétisé par «une quinzaine de longues conversations» téléphoniques avec Vladimir Poutine, le président azerbaïdjanais, Ilham Aliev, et le premier ministre arménien, Nikol Pachinyan. Le chef de l’État a aussi évoqué le dossier avec le chef de la diplomatie américaine, Mike Pompeo, de passage à Paris cette semaine, et avec le président élu Joe Biden, qu’il a appelé pour le féliciter. Deux absents de marque de ces consultations tous azimuts: Donald Trump, apparemment trop occupé à contester le résultat des…

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